Profil

  • MAITRESSE JÉZABEL et puppy
  • Journal de puppy , toutou a sa Maitresse Jézabel
  • bdsm soumis soumission bondage Maitresse
  • Femme, trentaine, leader et avec un humour sans limites adorant le bdsm autant pour son coté controle que pour le coté dépassement. Puppy: hétéro . vingtaine, un curieux petit pervert se soumettant a sa Maitresse dans le but d'être un bon s
Vendredi 18 février 5 18 /02 /Fév 01:43

Je suis coucher en petite boule aux pieds de Maîtresse. Je m’endors petit à petit au même rythme que mes coups de langue ralentissent. Toute la semaine, j’avais rêvé de ce moment. Le dernier souvenir en tête, avant de sombrer dans un sommeil profond, est celui d’une coulisse de bave glissant sur les orteils de Maîtresse, alors que celle-ci se trouvait encore dans ma bouche. Comme le gros BB chiot que je suis, je dormais paisiblement. Je rêvais de cette soirée magique que je venais de passer. Maîtresse avait été d’une douceur plus que maternelle ce soir là. Elle ne m’avait pas puni et m’avait accordé beaucoup de délicatesse. Elle m’avait même fait prendre un bon beau chaud. Elle avait parfumé la salle de bain avec de superbe chandelle. J’avais envie de lui demander les raisons pour lesquels elle me réservait cette tendresse. Au lieu de ça, je me suis contenté de me dire qu’elle devait avoir été fière de son puppy au courant de la semaine et que se devait être, pour elle, une façon que me le démontrer. Je dormais donc paisiblement quant au milieu de la nuit j’entendis Maîtresse ce lever. J’étais habituer que celle-ci se lève et n’y porta pas beaucoup d’attention. Soudain, je sentis quelque chose me tirer les mains vers l’arrière. Encore endormi, j’essaya de luter mais trop tard elles étaient liées dans mon dos par une paire de menottes. Je me leva aussitôt brusquement pour comprend mieux ce qui m’arrivait et je tomba sur le sol. Sans m’en rendre compte, elle m’avait liée les deux pieds par une seconde paire de menottes. Confus, il me fallut une grosse minute pour réaliser mon sort. Maîtresse riait et adorait le spectacle que je venais de lui offrir. Elle me donna un coup très fort de cravache sur les fesses et m’ordonna de remonter sur le lit. J’obéis lentement toujours déboussolé. Maîtresse n’apprécia pas du tout et me frappa à nouveau. Le son de la cravache sur mes fesses résonnait fortement dans ma tête, qui était toujours en train de rêver.

 

-         Alors puppy est-ce que Maîtresse t’a réveillé.

-         Oui Maîtresse puppy faisait de beau rêve.

-         Ho pauvre petite bête. Fini pour toi les beaux rêves. Tu as été très impoli cette semaine de jouer avec ma queue et sans même ma permission.

-         Oui Maîtresse je suis désolé.

 

Sans m’en rendre compte je venais de tomber dans son piège. Je venais d’avoue mes fautes.

 

-         Comme ça tu m’as désobéi sale petit chiot ?

-         Oui Maîtresse.

-         Tu va devoir payer pour ça. C’est pas bien jouer avec les jouets de Maîtresse et surtout sans ma permission. Pourtant je t’avais averti mon puppy.

-         Oui Maîtresse mais je n’ai su me retenir.

 

Puis une vive douleur c’est fait ressentir sur mes fesses. Il ne s’agissant plus de la cravache mais plutôt d’une longue et mince canne en bois. J’avais l’impression d’avoir la peau fendue.

 

-         Depuis quand les chiens parlent?

 

Elle me redonna un autre coup sans que je mis attende et je poussa un gémissement de douleur.

 

-         Nous allons devoir corriger ça mon puppy car les chiens jappent et grognent mais il ne parle pas alors à quatre pattes salope.

 

J’étais complètement en état de choc et visiblement ébranlé, Maîtresse me plaça un bâillon boule en bouche.

 

-         Tiens comme ça je vais être sur que tu ne parleras plus et je n’ai pas envie de réveiller les voisins car cette nuit, mon puppy, tu va devoir pleurer pour t’excuser.

 

A genoux,  le dos bien cambré, menotté et dans l’impossibilité de me plaindre, j’étais à la merci de ma Maîtresse.

 

-         Je savais bien que tu avais joué avec ma queue alors je me suis dit qu’il serait beaucoup plus efficace pour toi d’apprendre en te sortant des nuages de cette façon. Tu m’appartiens. Ton corps ton esprit et surtout ton minuscule morceau de peau entre tes jambes. Je devrais te mettre en cage pour un bon moment puisque tu n’écoute pas sinon. Tu seras donc en cage pour les 3 prochains mois lorsque tu ne seras plus sous ma supervision.

 

Trois mois, c’étais presque jusqu’à cet été. Je venais de me m’attirer de vilain ennui. Maîtresse me servi par la suite une sévère correction avec la canne en bois. La seul chose qui me permettait de résister à cette douleur, était le bâillon que je mordais à pleine dent. Chaque série de coup était suivi de douce caresse. Cela me faisait terriblement du bien. Par la suite Maîtresse alluma plusieurs chandelles, pour m’aider à relaxer disait-elle. Je comprenais mal comment cela pouvait me détendre. J’avais les fesses tellement rouges que ça illuminait presque la pièce. Elle prit l’une de ses bougies, et commença à me verser de la cire, une goutte à la fois, sur mes fesses déjà brûlantes. La cire coulait le long de ma craque de fesse et bientôt j’en senti sur mes couilles. Cela m’excitait. Maîtresse le savait et me ramenait toujours à l’ordre en versant quelques gouttes sur mon dos ou sur les marques fait par la canne. C’était un parfait mélange entre l’érotisme et la douleur. Elle me caressait avec ses mains soyeuses. Finissant toujours par aboutir sur ma verge. Ses mains avaient le pouvoir de me faire oublier la cire brûlante. Elles avaient aussi le pouvoir de me faire souffrir. Elle aimait bien me donner à l’occasion de bonne fessée pour pas trop que je m’évade dans mes pensés. J’étais constamment stressé car chaque fois que je ne sentais plus ses mains, j’avais peur de recevoir une autre fessée. Maîtresse adorait voir mon petit cul se serrer de peur.

 

Elle me coucha, par la suite, sur le dos. Passa les menottes autour de sa tête de lit et m’attacha de nouveau les mains. Pris une corde et l’attacha après la chaîne des menottes qui retenaient mes pieds et l’attacha à la base de lit. Elle commença par me dessiner une brassière avec la cire. J’étais très humilié par cette idée perverse. De plus, j’allais probablement garder une démarcation pendant quelques jours causés par la cire très chaude. Une fois terminées, elle me dessina un joli bikini. La cire qui tombait près de ma queue me faisais très peur. Je n’osais pas bouger par peur qu’une goutte tombe sur un endroit plus sensible. Maîtresse me regardait avec son joli petit sourire moqueur, devinant la terreur au fond de mes yeux. Elle prenait un malin plaisir à me torturer de la sorte. Elle enleva le bâillon, ce qui me fis vraiment plaisir. La mâchoire devenait de plus en plus douloureuse bloquée dans cette position. Mon plaisir fût cependant de courte duré car aussitôt elle en remit un ave un anneau. Elle mit une cuisse de chaque côté de mon corps et m’écrasa son sexe au visage m’ordonnant de la faire venir. C’était très excitant et ma queue ne tarda pas à devenir dur. J’adore cette vu sur le fruit de mes désirs. Elle était déjà bien humide avant même que j’y pose la langue mais sentait tout de même que mon travail lui faisait plaisir. De toute façon je n’avais aucune autre option que de m’appliquer car chaque fois que je perdais de la langue son point sensible, elle déversait une énorme quantité de cire sur mon membre. Cette pression supplémentaire, qui me forçait à bien faire, me rendait fou de désir. Je voulais supplier Maîtresse pour qu’elle me fasse venir mais j’en étais incapables. Je me déhanchais et me tordais pour lui faire voir mon excitation, mais cette ruse elle la connaissait.

 

-         Au non mon puppy toi pense-y même pas ton bonbon tu l’as eu cette semaine alors que tes mains sales jouaient avec MA queue. Toi ça n’ira pas avant la semaine prochaine.

 

Ces paroles calma mes ardeurs et aussitôt une coulée de cire tomba sur mes cuisses.

 

-         Ne m’oblige pas à te battre puppy tes fesses son déjà très amoché et j’attends toujours mon orgasme.

 

Craignant une autre coulée de cire j’exécutât avec beaucoup de concentration. Elle ne prit plus beaucoup de temps avant de venir. Elle s’orienta de façon à ben me remplir la bouche de tout son jus.

-         Profite c’est ta seule récompense.

 

Elle sortie de la chambre un moment, puis elle revient avec une boite de coton tige, un petit bol, d’autres bougies et des serviettes. Ne sachant pas trop son plan diabolique, j’étais énormément nerveux. Elle pris un coton tige, l’imbiba avec un liquide inconnu qui se trouvait dans le bol et l’appliqua sur mon ventre. Un silence glacial pris place dans la chambre. Elle pris une bougie, l’alluma et venu la faire passer au-dessus de mon ventre. Le liquide qu’elle venait de mettre sur mon ventre prit feu et aussitôt Maîtresse l’éteignit avec une des serviettes. J’étais terrifié devant ce spectacle. La peur d’être brûlé était énorme. Ayant un ami cracheur de flamme, j’étais bien au fait que lorsqu’on joue avec le feu on risque fort de se brûler. Maîtresse reprit l’opération et s’amusait sur différente partie de mon corps, bras, cuisse, jambe etc. Un bafouillage de supplice sortait tant bien que mal de ma bouche mais le bâillon le rendait incompréhensible.

 

-         Quoi mon puppy ça ne t’amuse pas? Non c’est sur que tu aimerais mieux que je joue avec ma queue.

 

Elle pris à nouveau un coton tige et l’imbiba et venu asperger mon sexe.

-         Compris puppy jouons avec ma queue.

 

Elle saisit la bougie et l’approcha près de ma queue. Au moment ou je croyais que tout flamberait,  elle souffla la bougie.

 

-         Non je ne ferai pas cela, tu risquerais de la perdre.

 

Soulagé mais encore très nerveux elle alla chercher la cage de chasteté. Elle nettoya mon engin de la cire et l’emprisonna.

 

-         Tiens comme sa tu seras plus obéissant mon B.B. chiot.

 

Elle me libéra de mes liens et se coucha.

 

-         Viens mon puppy tu mérite une belle caresse.

-         Merci Maîtresse, merci pour tout.

-         De rien mon chien tu sais Maîtresse fais ça pour ton bien.

 

J’éteignis toutes les bougies et nous nous sommes recouchés.

 

 

 

puppy Jeudi 17 Février 2011

 

19h44

 

 

      

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