Je me rendis, comme à l’habitude, chez Maîtresse pour 8hp.m. Elle me manquais énormément. Depuis quelque semaine, elle n’écris plus beaucoup sur le blog et répond brièvement aux texto. Ca me frustrais parfois car comme nous ne nous voyons rarement, j’aimerais bien avoir plus de ces nouvelles. Donc, Maîtresse m’attendais, cravache et mon collier en main. Je rentre à quatre pattes, retire mes vêtements. Et attendis sagement de recevoir mon collier. Maîtresse s’approcha de moi et me caressa avec ses mains. Elle mis mon collier et y accrocha une laisse. Elle me tira au salon ou et s’assis sur le divan. J’en profita pour lui embrasser les pieds
Maîtresse m’avait envoyer un texto plus tôt, me disant qu’elle étais très fatigué et que la soirée serais plutôt tranquille. Elle insistait aussi pour que je ne soupe pas. Elle me préparerait à souper. Je m’attendais donc à une soirée plutôt tranquille ou je passerais du bon temps avec Maîtresse.
Toujours au salon, Maîtresse retire ses pieds de ma bouche et me donna les consignes du week-end. Rien de très compliqué en faite. Je suis un chien à part entière pour tout la fin de semaine, ou si indication contraire. Cela commence maintenant. Je me redressa donc sur les fesses pattes avant bien droite, face à Maîtresse, comme un fidèle petit chien. Elle me dit (reste) et va dans sa chambre. Elle revient avec deux petit sac en cuir, muni d’un harnois pour pouvoir l’attacher. Elle me demande de donner la patte. Elle enfile un des sac autour de ma main et attache le harnais bien serré autour de mon poignet, et cadenasse le tout. Puis me demande l’autre patte et refait pareil. ( tien mon puppy un chien n’a pas de main). Se nouveau gadget m’excite énormément. J’ai le sentiment d’être un véritable chien. Elle me mène ensuite à sa chambre ou il y a de gros changement. Premièrement il y a une cage pour chien. Il y a aussi plusieurs corde d’étendu sur le lit ainsi qu’un crochet au plafond. Elle me mets en cage qu’elle ferme simplement, sans cadenas. De toute évidence je ne pourrais en sortir. Le mécanisme d’ouverture est fais de façon que sans mes doigts je ne pourra m’enfuire. Maîtresse me demanda de me reposer et que si j’ai un petit pipi à faire, je n’ai qu’a me pisser dessus. Elle dit aussi qu’il y a changement de programme. Elle ne se sent plus fatigué et qu’une amie vient souper à la maison. Elle sort de la chambre et me laisse sur c’est dernière parole.
Je l’entend à la cuisine. Elle prépare à manger. L’odeur me donne faim. Après tout il est certainement passé 9h et je n’avais rien mangé puisque Maîtresse devait nous faire à manger. La cage ou je me trouve est très étroite. J’ai de la misère à trouver une position confortable. La seul position possible est en petite boule, mais je ressent vite le besoin d’étirer les jambes.
Maîtresse revient me voir. Elle ouvrit la cage et retira mon dispositif de chasteté. À l’aide d’une débarbouillette, elle lava ma queue. Elle referma aussitôt la cage en me disant, (essais de te masturber si tu veux, sans les main je ne crois pas que se sera possible) Chaqu’une de ses remarques, me rend de plus en plus excité. Le fais d’être si impuissant, d’être à la merci de Maîtresse m’excite beaucoup. Évidemment que l’envie de me caresser la queue était présente mais le fait de ne pas être en mesure de pouvoir me faire venir me frustrais trop et je renonça.
Soudain on sonne à la porte. J’étais en train d’oublier la visite à Maîtresse. En faite je l’avais pris un peu à la légère. Je croyais toujours qu’elle était trop fatigué et que la soirée serais tranquille. Maintenant je compris que Maîtresse m’avait monté un beau canular. La voix d’une femme se fit entendre. Cependant cette voix m’était étrangère. Mon cœur battait à cent milles à l’heure. Je n’avais aucun moyen de me cacher. J’étais complètement nu dans cette cage. Après que Maîtresse prit soin de faire entrer son invité, elle l’amena dans la chambre.
- Tien sa c’est ma petite chienne puppy. Je crois pas que je l’avais la dernière fois qu’on c’est vu.
- Non en effet. Qu’elle belle chienne.
- Elle n’ai pas encore toute a fais bien dressé, mais elle fait des progrès.
- Salut le beau petit pitou.
Elle me présentait comme son chien. En plus son amie n’avait aucunement l’air étonné et elle aussi me traitait comme un chien. J’étais complètement abasourdit. Je me sentais humilié et excité. Me faire traiter et ignorer de la sorte étais bien spécial je me sentais vraiment la chose à Maîtresse. Les deux femmes se dirige ensuite vers la cuisine. Je les entendaient parler, manger et se siroter une coupe de vin. Moi de mon côté, j’étais affamé. Je sentais l’odeur du repas et j’en avais l’eau à la bouche. Je restais la en petite boule dans ma cage sans dire un mot.
Maîtresse et son invité, passa ensuite me voir avec son sac pour enema. Elle me demanda d’approcher mes fesses sur la cage et m’introduit la sonde à travers celle-ci. Elles avaient l’air à prendre un vilain plaisir à me voir ainsi. Elles me laissèrent comme ça et elles retournèrent à la cuisine en se marrant bien de ma gueule.
J’avais envie de retirer la sonde de mes fesses car je ne savais pas combien de temps je devrais passer avec le liquide dans mes entrailles. J’en étais cependant incapable. Maîtresse m’avait dit plus tôt que si j’avais un besoin a à faire de le faire dans ma cage mais je ne voulais pas me ridiculiser à se points devant son invité. Alors je résista le plus longtemps possible. Maîtresse semblais m’oublier et je n’en pouvais plus de me retenir. Au moment ou j’allais laisser tomber, Maîtresse me libéra et me permis de faire mes besoin. Ensuite elle traîna à la cuisine avec la laisse et m’ordonna de me coucher au pied de son invité. J’étais très timide et intimidé par cette situation. Maîtresse me servis à manger. Il s’agissait de leur reste passé au blinder. Une bouillie tiède et mon appétissante que l’odeur qui flottais dans l’air plus tôt. Je manga quand même tout sous les caresses de Maîtresse qui me complimentais.
Après avoir tout avalé, Maîtresse me traîna de nouveau dans sa chambre. Elle plaça un bâillon anneau sur la gueule et me laissa seul avec son invité. Celle-ci avais l’air très autoritaire. J’étais plutôt effrayer de me retrouver seul avec elle. Elle avait l’air fasciné par les corde sur le lit. Maîtresse est de retour dans la chambre et me libère les mains. Son amie me demanda de me placer sur les genoux et en moins de temps que cela ma pris pour le faire, elle me ligota les mains derrière le dos. Puis avec d’autres cordes, elle me relit au crochet du plafond et me voilà suspendu dans le vide.
De toute évidence c’étais une pro. Après quelque coup de cravache sur les fesses. Maîtresse sortie son god ceinture et commença à pénétrer mon cul. Elle m’ordonna de mangé son amie et de bien m’appliquer. J’étais complètement à l’envers. J’étais très excité. Ma queue voulait exploser. J’essayais tant bien que mal de bien faire mon travail mais avec Maîtresse entre les fesses. J’avais envie de pouvoir toucher les deux femmes mais j’en étais incapable. Maîtresse me masturbais en même temps qu’elle s’occupait de mon cul et son amie me dégoulinais au visage. J’en revenais pas d’être la à manger une étrangère. C’étais cependant tellement excitant et de toute façon dans la position ou j’étais, je ne pouvais pas m’y opposer. Cela dura un bon moment puis on me redescendis au sol. Toujours les mains liées, Elles me jetèrent sur le lit. Coucher sur le dos. Maîtresse se plaça par dessus mon visage et s’écrasa sur celui-ci. Son amie elle commença par jouer avec ma queue. Puis elle la mis dans la bouche. J’avais le sentiment de me faire violer. J’étais la complètement impuissant à combler ces deux femmes. L’amie de Maîtresse se dressa par dessus moi et enfonça ma queue dans sa chatte. Je n’en pouvais plus et après un bref moment je suis venu. La femme arrêta Maîtresse aussi. Elle me plaça sur le ventre, les fesses bien relevé et reçu une solide correction. J’essayais de m’excuser au près de Maîtresse mais reçu aussitôt un autre coup violent.(Un chien ça ne parle pas Puppy).
Étonnamment malgré que je sois venu et après avoir reçu une aussi sévère correction, j’étais toujours bandé bien dure. Maîtresse semblait apprécier. (Wow le viagra que j’ai mis dans ton repas semble bien faire effet Puppy!)
Quoi!!! Viagra? Maîtresse avais dissimulé du viagra dans mon repas. (Maintenant que tu est venu grosse salope, c’est à notre tour de venir Puppy)
Les deux femmes me replaça sur le dos et continua se qu’ils avaient commencé plus tôt. J’avais la queue très sensible et c’étais devenu très inconfortable mais impossible de débander. Impossible aussi de me débattre, J’étais bien ligoté. Les deux femmes s’amusais à me venir au visage. J’étais complètement trempé. Je me sentais souillé mais aussi fier de servir d’objet pour elles. À l’avenir je vais resté sur mes gardes quand Maîtresse va me dire qu’elle à prévu une soirée tranquille!
